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Se former au métier d’influenceur

Influenceur de tendance : c’est devenu en quelque temps le métier le plus en vogue du moment. Mais attention, il ne suffit pas d’avoir la passion pour les réseaux sociaux pour se targuer en être un. C’est une profession comme bien d’autres : elle ne laisse pas place à l’amateurisme. Retour sur les conditions nécessaires pour devenir un influenceur.

Le nombre de follower compte

Bien évidemment, pour être un influenceur de renom, il faut avoir une communauté de suiveur. Ce peut être sur Facebook, sur instagram ou sur YouTube. Vous devez avoir l’ascendant sur ces derniers et pouvoir les inciter à consommer tel ou tel produit ou à opter pour tel ou tel marque. D’où le titre notamment d’« influenceur ».
La règle est simple : plus vous avez une grande communauté, mieux vous serez payé. Mais attention, si le nombre de follower suffit pour commencer, ce sont les résultats qui impacteront dans votre réputation.

Tester et présenter des produits

Le rôle d’un influenceur consiste à tester et à présenter des produits. Il doit en vanter les mérites, histoire d’optimiser le nombre de ventes de la société qui l’engage.
Une formation de commerciale ne serait pas du luxe. En effet, pour conclure une vente, base de votre réputation en tant qu’influenceur, vous devez utiliser certaines techniques de présentation et différentes tournures de phrase.
Les grandes marques ne vous font pas payer les produits à tester. Néanmoins, il faut tout de même rester cohérent dans vos articles et publications. Ce n’est pas la peine par exemple de présenter des articles de grossesse si vous ne l’êtes pas, ou des accessoires de puéricultures si vous n’avez pas d’enfant en bas âge.

L’influenceur pour les adresses

Outre les produits à la consommation, sachez que les influenceurs peuvent aussi devenir une égérie d’adresse connue : restaurant, hôtel, banque, etc. C’est un secteur d’avenir qui ne finira pas de si tôt à faire parler de lui. Mais encore faudrait-il savoir faire la différence entre les différents prestataires déjà disponibles sur le marché. Par exemple, des bases d’anglais ne seraient pas du luxe, même si la majorité de vos clients étaient français.

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