Les tests de qualité d’un logiciel sont tous les processus dont l’exécution permet de connaître la qualité de celui-ci. Il s’agit aussi de déterminer les défaillances possibles pouvant exister à court, moyen ou long terme. Même si tous les tests de ce type s’effectuent de manière différente, leur objectif reste cependant le même. C’est le fait de vérifier et d’approuver que le logiciel fonctionne parfaitement et répond au fonctionnement demandé.
Les tests de fonctionnement
Dans cette catégorie, il est possible de trouver trois sous-groupes, qui sont classés selon leurs objectifs.
– Test fonctionnel : axé sur l’obtention de rapports sur l’aptitude des fonctions, des méthodes et des services qui composent le logiciel.
– Test de sécurité : conçu pour vérifier la sécurité des données manipulées.
– Test de volume : visant à mesurer la vitesse du logiciel à traiter de grandes quantités d’informations dans la base de données, que ce soit en entrée ou en sortie.
Les tests d’utilisation
Ils ont pour but de vérifier la relation de l’utilisateur avec le logiciel. Il consiste, de ce fait, à porter une attention particulière à l’interface, à l’expérience de l’utilisateur, aux assistants d’aide intégrés et à l’interactivité entre autres.
Les tests de fiabilité
Comme ceux de fonctionnement, ils se divisent en trois groupes :
– Test d’intégrité : il permet d’évaluer et de qualifier la résistance aux défaillances que présente le logiciel.
– Test de structure : il consiste à vérifier que chacune des parties qui composent la conception du logiciel est connectée aux bonnes fonctions.
– Stress testing : Il permet d’évaluer le comportement d’un logiciel dans des situations inhabituelles : une surcharge de fonctions, une saturation de la mémoire, une restriction des ressources partagées, etc.
Comment le Product Owner participe aux tests du logiciel ?
Pour que les tests réussissent, le propriétaire du produit, c’est à dire le Product Owner, doit être en interaction constante avec tous les protagonistes dans la création du logiciel. Il s’agit principalement des développeurs et des testeurs. Et pour que cet échange se passe dans les meilleures conditions, un cahier des charges doit être établi. C’est d’ailleurs la «ligne de conduite » que tous les acteurs vont suivre afin de garantir la performance du projet.